Tom Schwartz
Un héritage de grands bâtiments et d’établissement de relations
Tom Schwartz a accompli beaucoup de choses dans sa vie. Ce n’était pas nécessairement ce qu’il faisait, mais comment il faisait les choses. En tant qu’une personne qui rendait une tâche ardue simple, Schwartz, le fondateur de CAPREIT, apprécierait ce sentiment. Par contre, en tant qu’un homme humble, il trouvera une manière d’attribuer ses succès aux autres. Malheureusement, au mois d’août, à l’âge de 68 ans, Schwartz a perdu la vie au cancer de la prostate. Un pionnier qui est devenu un icône dans l’industrie, Schwartz a gradué comme un comptable agréé en 1975 et a fait carrière dans l’immobilier où il a acquis une renommée en tant qu’un leader et un visionnaire. Même s’il a décidé de ne pas poursuivre une carrière en tant que comptable, il s’est élevé au-dessus de tout et il a atteint des hauteurs insurmontables incluant les édifices.
Il a aperçu des édifices en ruine sous séquestre et il a saisi l’opportunité. En 1996, Schwartz a fondé CAPREIT (Canadian Apartment Properties Real Estate Investment Trust), avec Michael Stein, et il est devenu le président et PDG de la compagnie. Ses édifices deviendront les édifices de plus haute qualité dans un portfolio résidentiel autour du monde.
Il a perçu les gens le même universellement
Mark Kenney, chef de l’exploitation de CAPREIT, fut un des premiers employés de Schwartz. Il remarque que Schwartz a rendu ceci possible car il fut le premier à fournir un service aux locataires à un standard élevé. Ceci ne fut jamais offert dans auparavant.
« Il a perçu les gens le même universellement. La compagnie est pareille au Canada, aux Pays-Bas et en Irelande. Il a toujours dit qu’une maison et un service de haute qualité attirent des locataires de qualité qui mènent à des excellents résultats des affaires et que nous pouvons ensuite amener ces affaires autour du monde. Il a travaillé fort pour y arriver», dit Kenney.
« Il était un leader passionné. Il commençait à ne rien savoir à propos d’un sujet et s’il jugeait le sujet important, il étudiait fort pour en connaître plus. Je me souviens, il pensait que c’était important de connaître la langue française si nous faisions affaires au Québec. Il a pris des cours de français. Trois ou quatre leçons par semaine. Et il a fini par parler couramment français. Il a fait ceci dans sa soixantaine. »
Kenney parle avec émotions des histoires à propos de Schwartz- et toutes les histoires sont similaires. Schwartz se qualifiait lui-même comme timide, mais pour les personnes qui le connaissait bien, il était super énergétique. Sa présence était énorme. Quand il parlait, tout le monde écoutait. Il n’était pas un vendeur, mais il était si confident que tout le monde voulait le suivre.
Schwartz était un modèle de comportement que nous voulons tous dans un ami ou collègue. Tout le monde qui le connaissait mentionne son travail ardu, sa loyauté, sa passion et son compassion.
À son service, Kenney remarque comment chacun a parlé de leur première rencontre avec Schwartz, car il faisait une si forte impression.
« La raison pourquoi nous entendons la même chose encore et encore est parce qu’il était si unique et consistent. Il se faisait couper les cheveux par le même coiffeur pour 25 ans. Quand nous voyagions, nous allions aux mêmes endroits, aux mêmes restaurants, rencontrions les mêmes personnes. »
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